Vous êtes ici / Méditer / La posture comme façon d'être / Le corps que l’on est

Il s’agit du corps que l’on est, à la différence du corps que l’on a.

C’est le corps… « dans lequel je suis ici comme personne dans le monde, par lequel je suis perçu par les autres et par lequel je les perçois ».
K.G. Dürckheim.
L’homme et sa double origine,
Éditions Albin-Michel
L’exercice ne porte pas sur la musculature mais sur le corps que l’on est, le corps dans lequel le Moi égocentrique s’exprime.
« Nous devons apprendre à nous lâcher nous-même en tant que personne et non seulement en tant que corps ». « Laisser tomber les épaules » et « se laisser aller dans les épaules » sont deux attitudes fondamentalement différentes.
K.G. Dürckheim
Hara, Centre Vital de l’homme
Éditions  Le Courrier du Livre
La tension musculaire peut se comprendre comme « l’expression de l’embarras du Moi engagé dans l’existence »
K.G. Dürckheim
Pratique de la voie intérieure
Éditions Le Courrier du Livre
Mon attitude se traduit par la distribution de tension et de détente dans mes fibres toniques Elles sont les fibres du maintien postural et de la mise en corps de l’émotion, du corps que l’on est. Elles sont commandées, en dernier ressort, par l’inconscient.. En prenant conscience de mon attitude, lui permettant ainsi d’évoluer, je me transforme dans mes fibres toniques.

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