4. Assouplir ce qui est crispé
5. Renforcer les muscles faibles
Ce sont, généralement, les muscles abdominaux ou du périnée.
Avec des postures variées, nous les entraînerons dans leurs différentes composantes.
6. Respirer dans le bassin et avec les os du bassin.
Se détendre dans le ventre pour laisser le souffle l’habiter. Puis y devenir actif jusque dans le bas-ventre et, ainsi, créer un mouvement d’expansion puis de resserrement des os du bassin, minime, mais bien réel et perceptible.
Excellente pour conserver la tonicité du périnée, cette façon de respirer est aussi le point de départ, l’appui du souffle qui porte la voix, dans la parole, le chant et le jeu des instruments à vent.
Elle est aussi une composante essentielle de l’enracinement.
Quand il est installé, l’enracinement libère le haut du corps et lui permet de respirer avec fluidité.
7. Pratiquer les respirations yogiques avancées
• L’hyperventilation (maîtrisée) (Kapalabhati, Bhastrika) : elle permet de préparer un effort intense pour l’accomplir avec aisance (monter un escalier, une pente, courir) ou de se ré-oxygéner à volonté.
• L’apnée qui est facile quand le corps est au préalable bien oxygéné.
L’apnée nous apporte une sensation de liberté par rapport à l’impérieux besoin de respirer.
• Le pranayama (respiration rythmée)
• Les respirations qui favorisent la circulation veineuse et lymphatique et la circulation cérébrale en jouant sur les différences de pression entre l’inspiration et l’expiration.